Collection Fantasme. Je Récolte Ce Que J’Ai Semé ! (1/1)

Avoir un fantasme pour une femme mariée comme moi, ça peut paraître bizarre.
Il faut dire que lorsque ce fantasme fait suite à un rêve érotique ça peut paraître encore plus bizarre.
Mariée deux s des faux jumeaux, un mari aimant toujours à l’affut de mes moindres désirs, que pourrais-je espérer de mieux.
Un joli petit cul !
Le mien est très bien proportionné, il faut dire que je m’entretiens, jogging l’été et course sur tapis roulant en salle de sport trois fois par semaine.
J’élimine fort bien ma cellulite comparée à ma copine d’enfance martine qui est toujours à la recherche d’un nouveau régime.
Diva, ma fille, ressemblant morphologiquement à son père qui sans être gros à tendance à trop manger.
C’est une nutritionniste qui nous a conseillé légume et féculant à chaque repas avec cinquante grammes de pain si possible complet.
Au début, Franck l’a trouvé sévère.
Mais quand il a vu que le poids sur la balance au lieu de monter régulièrement de cinq kilos, suivi d’un palier, puis de nouveau cinq kilos, la quarantaine approchante, il me dit « merci ma chérie.»
Quant à Ange, le frère de Diva, il est comme moi et comme il fait sport étude en plus du foot ou il espère passer pro, aucun problème de surpoids pour lui.

Il fait chaud, c’est la canicule depuis deux ans l’été.
J’aime cette saison et surtout les robes légères, virevoltantes autour de moi.
Mes trois amours viennent de me quitter pour aller en week-end chez mes beaux-parents.
Je suis en froid avec ma belle-mère, ceci dès la première fois où nous nous sommes vus.
Les choses allant de mal en pis, par un accord tacite, son fils et les s vont les voir, et où je reste seule, un week-end environ tous les mois.
C’est le cas ce matin alors presque comme un robot, je me prépare à réaliser mon fantasme.
Comme je l’ai dit, robe légère et surtout aucun sous-vêtement surtout sur ma chatte, car c’est là que se tient mon fantasme.


J’ai une grande envie comme dans mon rêve de m’exhiber dans un lieu public.
Bien sûr, il y a des limites dans ce rêve, j’écartais mes jambes devant un public de curée qui se masturbait devant moi.
Ce rêve aurait pu rester un rêve jusqu’à ce que je comprenne que c’est ma chatte en exposition qui était mon centre d’intérêt.
Le lieu importe peu.
C’est un jour, comme aujourd’hui, en taillant ma toison en forme de triangle, qu’une simple expo suffirait à mon bonheur.
Le parc à cinq cents mètres de chez moi.

C’est la première fois que j’y entre, ça me permet l’anonymat.
Je m’assois sur un banc, légèrement à l’ombre et j’attends en lisant le dernier best-seller de l’été.
Enfin, il arrive.
J’ai envie de lui dire, assieds-toi comme au spectacle, mais il passe son chemin très vite suivi par une mémère qui elle s’assied.
Tire-toi, tu vois que tu me gênes.
La transmission de pensée doit fonctionner, car difficilement elle se relève et poursuit son chemin.
Trente ans, l’air sportif, je suis sûr que s’il prend place en face de moi, je le ferais.
Il le fait s’appuyant nonchalamment un bras sur le dossier du banc et sortant un mouchoir il s’essuie.
Je continue à faire celle qui lit.
Un deux trois, j’allais dire soleil comme, lorsque j’étais petite et que nous jouions à ce jeu ou je perdais toujours.
Un deux trois et j’écarte lentement les jambes.
Je vois qu’il a vu et qu’il voit, car il se redresse .
Je vois qu’il voit, car son regard se fixe sur mon propre centre d’intérêt.
Il a assez vu, plus serait du vice.
Surtout que ma chatte ruisselle de contentement.
L’impression de domination sur cet homme a été fantastique.
Contrairement avec Franck qui me domine sexuellement, j’ai décidé du début et je décide de la fin.
Rapidement je remonte le parc et je prends la route vers mon immeuble.
Je marche vite, car je sens le besoin d’aller me caresser.

J’ai abandonné cette pratique depuis mon mariage, mais la vierge que j’étais savait y faire avec ses doigts avant de sentir la verge de mon mentor.
Le temps est cour, car je marche vite.
Je fais le code de la porte qui s’ouvre et au moment où je la franchis, je me sens propulser dans le noir du hall.
Une main sur ma bouche et une autre sur ma chatte.

• Alors jolie allumeuse, on allume les hommes et on les laisse en plan, la bite tendue.
Je vois que tu prends ton pied comme ça, ma main malgré le vêtement certes très léger sent que tu mouilles.
Maintenant, tu vas me sucer.

Mon fantasme était de m’exhiber, alors que si j’accepte ce qui m’a été impossible à faire à Franck, je le tromperais et c’était loin d’être le but de ma manœuvre.
Dans mon rêve, je m’étais réveillé.

Agenouiller un peu , il ouvre sa braguette et sort sa verge.
Il a lâché ma bouche, je pourrais crier, mais je sais que je récolte ce que j’ai semé et je la prends entre mes lèvres.
Du bout des lèvres au départ, mais à pleines mains et au fond de ma gorge après un moment à le masturber.
Avec Franck, chaque fois que nous faisons l’amour, c’est avec sa propre main qu’il se fait bander avant de me prendre.
C’est la première fois que je montrais ma chatte à un autre homme, c’est la première fois que j’en fais bander un avec ma main et ma bouche.
Je m’attends à ce qu’il m’arrose de sa semence, je m’y prépare, mais il veut plus.
Il me redresse, m’arrachant à mon plaisir buccal pour mettre sa langue à la place de sa bite.
Il me coince le long du mur, me stimulant mes pointes de seins se trouvant comprimées.
Je devrais essayer de fuir, mais je suis devenue un sexe, un simple sexe qui veut se faire pourfendre.
C’est une autre qui soulève sa jambe qu’il prend dans sa main pour m’ouvrir et qu’il puisse me pénétrer.
Ça arrive rapidement et là, je fonds, je me pâme, je jouis pour finir quand il m’arrose, par m’orgasmer.


• Voilà, ça c’était mon fantasme, sexer une bourgeoise sous une porte cochère.
Toi, je pense que ton fantasme s’était de me montrer ta chatte.
Tous les deux on les a réalisés.
• Tu montes boire un café !
• Es-tu seule ?
• Mon mari et mes s sont chez ma belle-mère cette peste pour le week-end.

En prononçant ces mots, je sais que je me mets à la merci de cet homme sortie de nulle part.
Nulle part, non du parc ou je pensais simplement m’exhiber.

• Ça tombe bien je suis bloqué jusqu’à lundi.

Il est bien mis propre sous sa chemise, s’il avait voulu me , ce serait fait comme sa verge m’a fait en me poignardant.
C’est dans la cuisine qu’il me reprend, là encore j’innove, il m’a saisi, ma assis sur le plan de travail.
J’ai vu un porno chez des amis, Franck et moi ayant été piégé ou la maîtresse de maison se faisait prendre par la bonne qui lui léchait la chatte avant de lui enfoncer la main jusqu’au poignet.
Je venais de découvrir de telles pratiques que j’étais sûr restera pour moi une vision dégradante de la femme.
Elle s’était la main qui entrait en elle, moi c’est de nouveau sa bite qu’il me plante en me suçant les seins qu’il a sortis de ma robe.

Trois jours ou j’arrive à éviter la chambre conjugale des s.
Baisant de ci de là, de la peau de bête achetée dans une brocante.
La salle de bain attenante à notre chambre, là oui, je m’empale sur sa verge pour la dixième fois.
Il part, me laissant repu de sexe.
Je remets la maison en l’état, inutile qu’il me prenne en faute d’adultère risquant la fracture de mon couple.
Je cherche comment appeler mon sexe du week-end réalisateur de fantasmes, il est parti sans me dire d’où il était et comment il s’appelait.

• Chérie, je suis content de te retrouver, j’ai décidé de changer notre vie !
• Tu veux me quitter mon amour !
• Pourquoi te quitter, je veux simplement réaliser tous mes fantasmes avec toi ?
J’ai pris conscience que notre couple s’encroutait.

C’est seul dans mon lit chez ma mère que j’ai pris conscience que depuis que je suis jeune, j’ai des fantasmes jamais réalisés.
Ma chérie voilà le premier.

Heureusement, j’ai pris un bain après le départ de mon propre fantasme.
Si j’étais resté comme ça, il aurait nagé dans le foutre de son rival.
Il m’empoigne, me pose sur le plan de travail et me bouffe la chatte.
Je jouis une première fois avant qu’il me porte dans ses bras sur la peau de bête.
Variante de mes jeux amoureux d’hier au même endroit, ce fantasme devait manquer à la panoplie de mon amant magnifique.
Franck me prend en levrette.

• Aimes-tu ?

Plutôt deux fois qu’une chérie.

• Énormément mon amour, tu vas plus loin en moi.
• Présente-moi un fantasme, je le réaliserais comme tu réalises les miens.

Attendez, j’en ai un, mais avant je monte au rideau, j’ai déchainé ma libido alors autant en profiter.

• Bien alors, Franck, allons jusqu’au parc et je m’assoirais sur un banc avec un livre dans ma robe d’été.

Quand je sors du parc les yeux de mon mari rempli d’amour de m’avoir vu m’exhiber, je me presse jusqu’à notre porte cochère.
La vie est-elle un éternel recommencement ;
La main sur ma bouche et la queue collée à moi m’apporte la réponse.

OUI.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!